Le Point – 19/12/2013
Le livre du blogueur d’Hénin-Beaumont Octave Nitkowski sur le Front national ne sera pas disponible avant d’être expurgé de plusieurs passages.
L’Express – 19/12/2013
La cour d’appel de Paris a autorisé la sortie de Le Front national des villes et le Front national des champs seulement s’il est expurgé de quatre passages litigieux. Le FN estime que l’éditeur ne pourra assumer de tels coûts de réimpression.
France 3 – 19/12/2013
La cour d’appel de Paris a confirmé l’interdiction du livre « Le Front national des villes & le Front national des champs », poursuivi pour « atteinte à la vie privée » par deux cadres du FN, tout en jugeant légitime les révélations concernant l’un d’eux. L’éditeur devra donc retirer certains passages.
France Info – 19/12/2013
Les éditions Jacob-Duvernet étaient poursuivies pour « atteinte à la vie privée » par deux cadres du Front national. Mais seuls les passages sur l’un d’entre eux, Bruno Bilde, seront supprimés.
Le Parisien – 19/12/2013
Alors que le FN avait obtenu de la justice l’interdiction d’un livre, «Le Front national des villes & le Front national des champs» pour «atteinte à la vie privée» de deux de ses cadres, la cour d’appel de Paris a jugé, ce jeudi, légitime les révélations concernant l’homosexualité de l’un d’eux.
Yagg – 13/12/2013
Pour l’avocate de la maison d’édition, il est légitime d’évoquer la vie privée des deux hommes au regard de la position du FN sur le mariage pour tous.
Europe 1 / Le JDD – 13/12/2013
Deux cadres du Front national ont obtenu jeudi l’interdiction du livre Le Front national des villes & le Front national des champs pour « atteinte à la vie privée ». Le chapitre litigieux évoquait l’homosexualité supposée de deux cadres du parti.
20 Minutes – 12/12/2013
Un livre sur le FN à Hénin-Beaumont interdit. La justice a donné raison jeudi à deux cadres du parti frontiste, Steeve Briois et Bruno Bilde, estimant que le livre portait atteinte à la vie privée.
La Voix du Nord – 24/09/2013
Guy Delcourt, alors maire de Lens, avait prévenu : il porterait plainte pour diffamation contre l’éditeur et l’auteur de Rose Mafia 2. L’élu n’était pourtant pas directement cité dans le livre-enquête qui faisait suite au premier opus signé Gérard Dalongeville, ex-maire d’Hénin-Beaumont. La ville de Lens, oui. L’adjoint Jean-Paul Decourcelles aussi, en sa qualité de censeur au conseil d’administration d’ADEVIA (SEM d’aménagement). Il espérait un effet « boule de neige », que d’autres communes citées se joignent à la procédure. Seul Wingles s’est rangé avec la capitale de la Gohelle du côté de la partie civile. Une affaire traitée hier, au tribunal correctionnel de Lille.
Association pour le contrôle mondial de l’eau – 14/02/2013
Jean-Luc Touly transforme son procès en tribune politique. « Aux États-Unis les lanceurs d’alerte, Ils ont des Awards. En France… Ils sont renvoyés au tribunal ! Je fais juste partie d’une bande de joyeux lurons qui essayent de dénoncer des dysfonctionnements. » Emmitouflé dans son grand manteau solennel, sourire à toute épreuve et gestuelle théâtrale, Jean-Luc Touly ne veut surtout pas donner l’impression d’un quelconque stress. En face de lui, dans cette 17e chambre du tribunal d’instance de Paris se trouve pourtant un mastodonte. Hier le conseiller régional des élus d’opposition à Wissous à dû répondre des accusations de diffamation dont l’accuse Veolia.