Des artistes accusent certaines marques de se servir illégalement de leur travail pour faire la promotion de leurs vêtements ou accessoires
The charges, brought ten years ago by a rival gallerist, revolved around allegations that a curator at France’s national museum of Asian art had received favours in exchange for organising a Chu Teh-Chun exhibition…
Le cabinet Forestier Avocats se distingue à nouveau en 2020 en se positionnant dans des nouveaux domaines :
- En droit de l’audiovisuel et des spectacles vivants : dans la catégorie « Forte notoriété »
- En marché de l’art : dans la catégorie « Forte notoriété »
- En droit du cinéma : dans la catégorie « Pratique réputée »
- En droit du luxe et de la mode : dans la catégorie « Pratique réputée »
Le cabinet conserve ses positions antérieures :
- En droit de la presse dans la catégorie « Excellent »
- En droit de l’édition, droit de la musique: dans la catégorie « Forte Notoriété »
Par l’OBS – semaine du 18 mars 2021
Alors que deux propositions de loi sur les violences sexuelles sur mineurs sont examinées au Parlement, les avocates Marie Dosé et Léa Forestier s’interrogent sur la manière dont la justice peut mieux prendre en compte les demandes des victimes. Un dialogue riche et constructif sur le consentement, la prescription et la présomption d’innocence…
Le cabinet FORESTIER AVOCATS se distingue à nouveau en 2018 en se positionnant dans plusieurs domaines.
Il figure ainsi :
- En droit de la presse : dans la catégorie « Excellent » ;
- En droit de l’édition, droit de la musique et droit de la radio : dans la catégorie « Forte Notoriété » ;
- En droit de l’audiovisuel : dans la catégorie « Pratique réputée »
A la tête de son propre cabinet, entièrement féminin, l’avocate a autant d’éclectisme dans ses dossiers que dans ses goûts musicaux hérités de ses parents, de Chopin à Oum Kalsoum.
Interview de Léa Forestier dans l’Ebdo, le nouvel hebdomadaire lancé par l’équipe de la revue XXI.
Par l’Ebdo – semaine du 23 février 2018
Audience peu banale le 25 janvier : la Socfin attaque en diffamation deux ONG, Sherpa et React, mais aussi trois médias, l’Obs, Mediapart et le Point, toujours à propos de plantations africaines et de l’expropriation de villageois aux alentours. L’avocate de Sherpa Léa Forestier plaide alors qu’il «ne s’agit pas de vol de terres au sens pénal du terme, mais d’appropriation, les paysans exprimant une colère légitime de s’être vu déposséder de leurs terres». Le président de l’ONG, William Bourdon, s’en prend parallèlement à un «climat d’intimidation». Le parquet de Paris, représentant de l’accusation, requiert leur relaxe, au motif que «la Socfin et Bolloré sont des puissances économiques qui doivent accepter la critique ou de voir leurs actions remises en cause». On ne saurait dire mieux. En plus des ONG ciblées, un collectif de médias a signé une pétition intitulée «On ne nous fera pas taire». A la justice française de s’extraire de ce bourbier procédural.